***Tout ce qui est souligné apporte des compléments d’information
***Les images sont mes photos des graffitis de Valence
Aucune politique de santé, pourquoi ?
Les données d’alimentation ont explosé avec ces transformations apportées par la baisse de qualité des animaux, fruits et légumes, mais aussi de la cuisine industrielle. Les produits de santé ont été créés sans que les médecins ou les scientifiques se posent des questions pour conserver les effets de la nature connue.
La médecine générale et spécialiste me semble toujours orientée pour soigner les maladies existantes. Pourquoi ne pas mieux conseiller les habitants d’un pays pour leur prévenance naturelle en partie ? En clair, éviter la maladie par un virus ou des habitudes qui transforment la vie de chacun.
La politique de santé, même avec le ministère qui a existé dans les gouvernements, le futur de santé des particuliers est peu orienté. Il est dépendant depuis longtemps de l’économie des laboratoires pharmaceutique.
Nous le voyons en ce moment avec le Covid-19 où les laboratoires ont travaillé pour continuer de gagner de l’argent.
Les études nouvelles au plan mondial ont apporté des solutions pour vaincre certaines maladies en Afrique, en Asie dans des pays différents. Pourquoi ne pas les étudier avec précision pour les adapter en Occident ?
Juste peu de prévenance
En Australie, un couple de métis Aborigènes a montré comment rester au contact du Bush, zone de forêt et broussaille bien plus grand que la France. Les premiers colons britanniques étaient des bagnards et leur encadrement depuis le 26 janvier 1788, envoyés par le Royaume-Uni tout entier. L’évolution du pays s’est développée autour de la mer, mais pas au centre de ce continent. Les Aborigènes face aux produits modernes sont en difficulté, comme les Noirs arrivés d’Afrique aux Etats Unis.
Ce dernier pays a réagi sous la présidence de Barack Obama pour diminuer l’obésité dans le peuple. La participation de Michelle, son épouse, auteur de « Devenir » a orienté les adaptations du jardinage et de l’agriculture. New York a vu naître des jardins sur les murs en 2014. Beaucoup de gens ont perdu du poids en modifiant leur alimentation, un exemple à suivre dans d’autres pays.
Les dirigeants des gouvernements sont entourés des sociétés d’agriculture, alimentation, laboratoires médicaux et les banques. Nous perdons du temps sur l’espoir d’une longue vie qui est en nous.
Les produits dangereux
En alimentation
Le développement agricole en France est devenu international autour de 1962 avec le Plan Agricole Commun de l’Europe. Beaucoup de pays étaient exsangues à la suite des guerres 14-18 et 39-45, mais le nôtre en plus après le Vietnam et l’Algérie…
Au cours du temps, les besoins furent initiés dans l’alimentation des hommes et des animaux. Les hommes ont développé leur qualité alimentaire au cours de leur histoire régionale et l’agriculture prit son orientation pour le marché global. Les ateliers de production alimentaire furent créés dans les régions et lancés sur les marchés du monde.
Ce fut identique pour les animaux, les vaches, moutons en particulier mais aussi cochons, chats et chiens…
Et santé
Avec ces nouvelles créations, des recettes de plats sont devenues dangereuses pour les Hommes. Les services de santé contrôlent selon la loi, sans intervenir sur la qualité réelle pour les consommateurs.
Les hôpitaux et les cliniques ont des services multiples pour les malades. Les services de soin offrent un service efficace souvent. L’enseignement global de santé à suivre est cependant compliqué à être transmis aux gens soignés. La gestion des soins reste à s’adapter au peuple d’un pays.
Un point clé de santé est lié à l’alcool consommé parfois individuellement ou collectivement de manière anormale. Les accidents de la route et au travail en montrent le véritable danger de santé. Les bals ou rassemblements populaires pour les fêtes locales ont aussi beaucoup vendu des boissons de tous types.
Des produits nombreux se sont présentés avec du potentiel de difficulté en santé, le tabac et les drogues diverses.
Problèmes humains individuels, mais face à ces constats des sociétés ont réalisé des créations nouvelles à partir de l’eau ou du vin dans tous les pays du monde. Certains produits réalisés détruisent la santé des personnes qui consomment même parfois en petite quantité.
La publicité présentée dans les journaux ou les émissions de télévision est aussi très développée alors que le danger existe dans la consommation moderne.
Le sucre
Par exemple, le sucre que nous achetions pour la pâtisserie, les desserts ou les bonbons en 1850 était d’environ 5 kilos par an en moyenne par individu dans le monde. Dans les statistiques, il est de plus de 30 kilos chaque année maintenant.
En 2014, je devais porter attention à l’obésité des passants sur les trottoirs des villes que je visitais aux USA. Nous étions surpris sur nos promenades de Santa Barbara et parfois dans un fauteuil en avion. Comment des équipes de rugby dans le monde entier pouvaient-elles choisir des des joueurs obèses en pilier? …
Pour gérer au mieux notre alimentation nous devrions imaginer dans toute l’alimentation les valeurs de l’indice de glycémie de chaque produit. Cela concerne tous les plats qui peuvent être créés de manière individuelle ou industrielle. Chaque région peut avoir des produits différents à consommer.
Le traitement chimique
Depuis le début de ce XXIème siècle, les céréales comme les légumes ou les fruits se transforment: leurs terrains sont empoisonnés depuis plusieurs années. Tous ont des traitements en semence et dans leur croissance. Les produits phytosanitaires, pesticides agricoles, traitent en grande quantité les produits. Du printemps à la récolte cette chimie provoque des ennuis à la consommation.
J’ai vu au Maroc et en Californie des productions de fruits et légumes qui demandent un traitement particulier des produits pour les livrer. Le but est d’éviter par exemple que les oranges et les pommes mures soient livrées plus sèches. Les bananes sont vertes sur certains marchés et murissent une fois achetées. Les goûts de chaque espèce sont changés.
Le gluten
Les chiffres d’aujourd’hui sur les céréales, le gluten de blé en particulier, sont connus mais les conseils d’alimentation restent peu transmis.
Le pain et les pâtes ont une recette qui contient de la farine. Cette farine en 1950, n’était pas blanchie comme aujourd’hui. Le gluten permet de préparer le pain autrement, le rendre plus beau par ses formes de la présentation à la vente.
Le pain moderne contient aujourd’hui par exemple 40% de gluten, autrefois ce chiffre était 4 fois plus bas.
Le gluten est difficile en digestion pour ceux qui consomment chaque jour le pain ou les pâtes. La farine de pizza et de pâtisserie a aussi du gluten, des pâtes « sans gluten » existent aussi pour changer sa vie.
Le marché est partagé, les produits « sans gluten » offrent aux fournisseurs un bénéfice supplémentaire de production.
Le point des études du gluten
Les études montrent qu’environ 10% des gens souffrent des effets sans toutefois souffrir de la maladie cœliaque. Chacun peut avoir une hypersensibilité aux protéines du gluten insolubles dans l’eau. Le « glu » est de la colle, il est venu avec les modifications de l’agriculture du blé ancien et favorise la création du pain.
Le gluten est présent dans le blé, l’épeautre, l’avoine, le seigle et l’orge… S’il peut paraître simple de ne plus manger de pâtes et de pain, traquer le gluten dans les aliments industriels s’avère plus complexe.
Gluten non digestif pour beaucoup
Les symptômes non digestifs de l’intolérance au gluten touchent des personnes, jeunes ou plus adultes :
– une perte de poids et/ou un retard de croissance (petite taille par rapport à l’âge) ;
– une fatigue chronique ou une irritabilité ;
– une anémie par carence en fer ;
– un retard dans le déclenchement de la puberté ;
– une aménorrhée ;
– des aphtes récidivants ….
Ces signes se manifestent avant tout par des dérèglements gastriques tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, des diarrhées chroniques ou encore des nausées et des vomissements. Ils sont d’autant plus trompeurs qu’ils n’apparaissent jamais soudainement, mais au contraire, de façon progressive.
Le contrôle de cet effet est arrivé sur le marché suite aux découvertes de santé de plusieurs personnes ayant montré une allergie lors de la digestion mais également des problèmes au cerveau.
La protéine pénètre le cerveau et y exerce ses effets pathogènes. Les peptides opioïdes franchissent d’autant plus aisément la barrière hémato-méningée. Ils en augmentent la perméabilité et sont retrouvés dans le liquide céphalo-rachidien. Ils perturbent l’apprentissage, l’affectivité, la socialisation des consommateurs.
Je vais vous laisser choisir votre nutrition future, mieux vaut apprendre à s’occuper de son alimentation si l’on veut être en bonne santé.
Michel Prieu
Suite :
Nutrition 3: Pourquoi ne plus boire de lait de vache ?