La médecine d’aujourd’hui

Bonjour,

Pourquoi vous inviter à observer et peut-être réfléchir sur la médecine d’aujourd’hui?

Ce n’est pas le Covid-19 qui m’inquiète. Depuis longtemps mes connaissances en activité m’ont privilégié de vivre en bonne santé. Jeune sportif ou plus tard dirigeant de ma vie, j’ai été accompagné par les sciences médicales.

Le monde est maintenant lié au plan individuel et collectif

J’aime (sans peur) sentir que ce monde évolue plus vite depuis quelques années. Le monde nouveau nous offre une autre façon de changer nos pensées et nos créations futures.

Cependant, j’ai l’impression que la médecine n’est pas adaptée au monde d’aujourd’hui. Je la trouve boiteuse pour aider chacun à être en bonne santé.

Ma découverte de la médecine lors de mon enfance

Très jeune, la façon de faire des soins m’est apparue grâce à ma mère et les amis de son entourage. Les visites médicales me préparaient pour le sport et elles existaient au sein de toutes les écoles où je suis passé.

La maladie recherche et diagnostic anciens

Je fus impressionné par la peur de mes copains de classe dans les visites collectives pour nos licences.

Ma sœur m’a fait découvrir sans le savoir ce qu’était une maladie. Même petite, sa fièvre montait à grande vitesse et elle la réagissait avec un délire. Je découvrais ses cauchemars dans beaucoup de ses nuits.

J’ai observé les médecins compétents qui m’ont soigné et j’ai apprécié leur efficacité dans leur métier. Sur leurs seuls conseils, je guérissais. J’ai eu l’impression d’être accompagné avec attention pour m’apprendre à vivre en bonne santé.

Le point clé est venu à mes 14 ans. Juste après Noël, mes rhumatismes articulaires ont bloqué mes chevilles. Le même jour, mon cœur ne battit plus avec des coups réguliers. Le vieux docteur que j’aimais a été attentionné pour me soigner. Il a dicté à ma mère de me faire des piqures de pénicilline en grande quantité selon un long programme .

Je suis resté cloué à la maison pendant trois mois et j’ai reçu les devoirs par mes copains. J’ai étudié mes matières de classe sans mes professeurs, mais sur mes livres d’école.

Mon choix de vie

Absent du Lycée Victor Duruy, mon idée de guérir rapidement m’a animé sans cesse. J’ai découvert et observé comment mon esprit et mon corps étaient reliés. Mon corps s’est remis en forme avec le seul but de rejouer avec mon équipe de rugby.

La médecine, science qui se modifie tout le temps.

L’amour de mes parents m’a aidé à grandir au cours de ma jeune enfance. Ma conscience de différence avec ma sœur m’a guidé pour décider tôt de mon futur métier. Un soir, j’ai été surpris de la discussion de mes parents. Ma mère voulut que ma sœur oriente son avenir vers la médecine.

J’adorais le travail de forgeron que mon père m’avait montré dans son usine. J’avais en plus l’admiration de le voir réaliser à la maison les grilles et portails de ses amis. J’avais plaisir à l’aider autour de son enclume. Peu adroit, je suivais son agilité juste en tournant la turbine du ventilateur du foyer de sa forge. J’ai aimé découvrir la température de l’acier, sa couleur permettait de le former comme une lame ou un soc de charrue .

Forger sa vie

Un matin, j’ai décidé de changer de collège pour entrer en voie d’apprentissage du métier de technique mécanique . J’ai compris alors que mon village était habité par beaucoup d’ouvriers.

La forge, métier de vie du monde

Au Lycée Technique, les professeurs m’ont fait réfléchir et décider de mon futur métier.

Beaucoup d’enseignants techniques imposaient leur méthode de travail pour tous, sans nous les faire aimer. Suite à mon absence d’un trimestre, mais attentif pour apprendre et faire les devoirs, la direction n’a pas respecté mes bons résultats.

Ma confiance aux moniteurs des ateliers de mon lycée a cessé dès mon retour à Pâques. La décision de la direction de m’imposer de passer un concours d’entrée pour la classe de seconde m’a fait honte.

Découverte de la médecine publique

Au cours de ma colère, j’ai décidé d’entrer dans le centre d’apprentissage de l’usine de mon père.

Ma croyance de devenir forgeron est venue grâce à des copains de sport. Plus âgés dans leur métier, ils étaient d’anciens apprentis et avaient la réputation d’être de bons ouvriers.

Les moniteurs de tous les métiers des ateliers m’ont accompagné dans mes découvertes d’apprentissage. Ils m’ont aidé à comprendre l’importance des qualités à avoir dans tous les services et emplois initiés avec eux. J’ai appris jusqu’à un poste de technicien supérieur, un nouveau projet de formation ouvert en 1964.

Nommé fonctionnaire, compte tenu des difficultés de mess travaux engagés en industrie, j’ai apprécié d’être entouré de services médicaux.

L’université de médecine changera

Ma sœur partit pour apprendre son métier d’infirmière à Paris. Grâce à elle, je découvris l’importance d’un grand hôpital et de ses services. J’ai constaté que les médecins étaient différents dans leurs techniques et séparés de l’organisation civile de l’administration.

De nouvelles technologies médicales arrivaient, mais toutes n’étaient pas utilisées avec des conseils ouverts. Les chirurgiens dominaient beaucoup de services. Ils étaient de bons techniciens, parfois je jugeais qu’ils ne s’occupaient pas bien des soins des malades opérés ou pas.

Les surveillantes et les infirmières ou aides-soignantes voyaient mourir beaucoup de gens malades ou accidentés. Une surveillante à Toulouse lors de notre éducation pour devenir un ergonome, partageait sa souffrance dans ce domaine personnel. Avec elle, j’ai compris que les centres hospitaliers allaient changer leur manière générale de traiter les malades.

Accident: expérience personnelle

Le tendon d’Achille

Après mes études, auprès de ma fiancée, secrétaire d’un spécialiste privé, j’ai découvert l’évolution de la santé en ville.

En jouant au rugby, j’ai brisé mon tendon d’Achille de la jambe gauche. Celui qui m’a opéré, fut le chirurgien qui m’avait fait naître. A 24 ans, il me dit que je ne pourrais plus courir pour jouer en rugby à nouveau.

Ce soir là, j’ai pourtant décidé autrement et lui dit mon espoir de continuer mes sports. Je fus assisté d’un kinésithérapeute, ami de mon village. J’ai rendu visite à mon chirurgien 6 mois plus tard, pour lui montrer mon nouvel art de courir. Il m’aimait et me dit sa surprise de me voir courir pour de nouveau avec ma volonté rejouer au rugby.

Béa, nouveau médecin

Ma sœur de son côté voulut devenir médecin à son tour, pour améliorer son activité en soins. Son projet était de modifier ce métier: écouter, diagnostiquer, orienter, soigner et accompagner un malade. Elle conseillait les gens en les soignant, pour qu’ils prennent une attention pour eux-mêmes en future prévention.

Etudier pour apprendre les règles de la prévention et le soin

Elle voulait que les gens soignés vivent ensuite autrement. Sa relation avec chacun les éduquaient pour la conscience et la confiance de soi. Un savoir-faire pour apprendre à ses clients à viser leur santé, en ayant un lien avec la nature et leur entourage .

Face au refus de son évolution vers la médecine en France, elle démissionna et partit en Suisse. Aidée par des médecins d’origine américaine, des femmes ouvertes à la médecine chinoise, elle démissionna et mena ses études à Genève.

Nous étions dans une nouvelle approche de la médecine, mais encore en pleine histoire de ce métier.

Une autre médecine

L’économie des laboratoires entre dans les projets de médecine

Les laboratoires pharmaceutiques se sont mis à produire des médicaments chimiques sans tenir compte des plantes naturelles. Un développement qui copiait les molécules de notre nature. L’aspirine veut dépasser le saule et la reine-des-prés pour un mal de tête, comme le thym pour le rhume…

Les pharmacies se développaient, les médecins écrivaient leurs ordonnances avec les médicaments inventés. Dans les centres (hôpital ou clinique) ou le cabinet, les « docteurs » furent invités à lancer les médicaments des laboratoires à leurs malades.

Beaucoup de médicaments chimiques sont convenables sur l’ordonnance médicale. Mais ils ont aussi des possibilités de détruire certaines cellules saines de notre corps, au même moment .

La publicité pour la santé donnait peu d’information pour apprendre chacun à respirer. La communication autour de notre alimentation pour éviter d’être malade est-elle correcte?

La politique économique et sociale me semble démunie de qualité pour vivre sainement parmi de nombreux pays d’Occident.

Occident, médecine anormale

A l’ouverture du XXIème siècle, la médecine me semble-t-il a continué de s’occuper de soigner les maladies pour développer l’économie. Je constate véritablement que l’enseignement nouveau n’invite pas chaque individu à être conscient de la responsabilité de sa propre santé.

Je trouve important d’apprendre à ne pas tomber malade. Pourquoi lutter contre les maladies qui apparaissent dans une région, un pays? Comment éviter les mots : Cancer, Arthrose, Alzheimer, ..?

Les organisations de santé sont, grâce à l’information, au contact des découvertes qui sont récentes. Nous avons aussi celles de l’ancienneté de vie des autres continents. L’Asie et l’Inde, mais aussi la Polynésie.., ont par exemple procédé de la même façon pour que leurs peuples vivent, riches ou pauvres.

Les Européens ont colonisé l’Australie, Amérique du Nord et du Sud… Ils ont découvert des pratiques nouvelles avec les Aborigènes, les Indiens, les Hindous ou les Aztèques.

Ces peuples anciens envahis nous ont pourtant appris comment la Nature peut nous aider à vivre sainement et plus longtemps. Les colons restés sur place se sont adaptés. Ils ont vécu autrement, mais ont rarement engagé les médecins locaux à adapter leur vie de l’Occident.

La médecine des colonies observée aurait pu changer la manière de concevoir les soins de l’Homme. Chaque individu a des possibilités de penser, réfléchir, respirer, s’alimenter pour rester en santé selon ses activités.

Comment penser la médecine?

La médecine d’aujourd’hui en France, devrait lancer plusieurs changements. Les sciences du monde sont en relation, comme cela est engagé dans les pays.

La physique quantique a apporté des connaissances nouvelles sur les liens individuels et collectifs sur notre Terre. Les solutions pour être responsable de sa propre santé sont connues et en étude sérieuse dans plusieurs pays.

Les informations des magazines et livres que j’ai reçus, me permettent de dire que je suis en bonne santé, malgré l’âge.

Jeune sportif et dirigeant, pour réaliser ce que j’aimais, mes idées m’ont entraîné à rester en bonne santé. Chaque jour, j’ai des pratiques d’effort et de réflexion avec l’impression de bien-être. Mon stress et mes douleurs ne me gênent pas, j’ai appris à contrôler et dominer.

J’ai eu cette évolution dans ma propre famille, même si elle fut différente entre toutes les personnes de mon entourage. L’évolution de l’éducation du monde devient possible par la définition du champ quantique. Pourquoi ne pas l’imaginer plus largement?

Changer la nutrition

Les américains ont, depuis des années, travaillé sur les nouvelles théories de médecine à penser autrement avec le champ quantique.

Des thérapeutes ou médecins ont apporté des idées nouvelles sur le stress, l’intention, la visualisation. Michelle et Barack Obama ont traduit l’alimentation dans l’évolution des Etat Unis. Leurs actions ont rencontré des difficultés face aux origines du « peuple blanc » qu’ils gouvernaient dans leur politique de santé.

J’ai découvert personnellement pour réaliser ma vie qu’il existe des piliers pour vivre de façon saine, calme et en joie. Il est nécessaire de contrôler son être et de visualiser ses projets pour toutes ses activités. Prévoir que son métier permettra à chacun, jeune ou pas, de se réaliser .

Les clés fondamentales de la nutrition et la respiration, notre posture sont à enseigner. La production des légumes et fruits d’alimentation demande aux agriculteurs de chaque région d’adapter leurs activités. Une évolution technique à enseigner qui favorisera sans doute l’économie future de chaque ville.

L’alimentation industrielle d’aujourd’hui est à imaginer autrement, pour qu’elle soit mieux adaptée au besoin de la consommation. Les données dangereuses sont connues, les métiers d’agriculture et d’alimentation pourraient être mieux réalisés.

Transmettre autrement la vie aux enfants

A sa naissance, un enfant respire naturellement par le ventre. Nous avons tous agi de cette façon. Mais en Occident, notre éducation avec nos parents et tout notre entourage modifie notre respiration. Un fait connu et difficile à transformer alors qu’il dérange la propre santé de chacun.

Pourquoi ne pas transmettre aux plus jeunes les éléments de vie essentiels? Ils peuvent apprendre dans les écoles en plus de ce qu’apportent leurs parents?

Les connaissances apportées par les démonstrations scientifiques actuelles serviraient à élaborer l’éducation de chacun. Elles sont aussi des possibilités de changer le développement des laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers orientent l’économie de notre pays, situation anormale de mon point de vue.

La politique de médecine est à adapter comme nous le demande la pandémie du virus qui touche le monde entier.

Renforcer l’enseignement complet

L’enseignement des toutes les activités futures est à s’adapter avec les nouvelles lois des théories quantiques. Les lois seront avantageusement définies au cours des futurs mois.

Nous avons de nombreux éducateurs qui, par ce qu’ils enseignent, jouent sur la santé des gens qu’ils rencontrent. Pourquoi ne pas mieux les former pour qu’ils favorisent avec espoir l’évolution de santé dans les jeux et cours de tout leur entourage?

Le champ quantique a apporté de nouvelles définitions humaines dans les neurosciences. Le corps et l’esprit sont similaires depuis des siècles, mais notre éducation nous rend différent. Nos programmes de vie acquis dès la naissance nous offrent de gérer les choix d’activité, l’énergie, les gènes et éviter d’être malade.

Le savoir-faire des scientifiques, leur union ouvre de nouvelles connaissances pour chacun sur l’ensemble de la Terre. Le monde de demain définit des voies pour imaginer une vie plus saine, avec l’amour de soi, solidaire des autres.

Comment imaginer sa vie plus longue?

Dans le passé, en Occident, nous avions beaucoup de mots sur le malheur, être malade et mort encore jeune.

Savez-vous que mammifère de cette Terre, notre vie d’homme nous offre une vie de 150 ans? En Asie ou en Inde, les chinois et les japonais, les hindous.., ont cette possibilité. Certains d’entre eux vivent vieux et nous proposent leur exemple.

Pourquoi ne pas parler avec des mots autour du « bonheur » plutôt que de continuer à parler et évoquer les maladies ? Pourquoi ne pas éduquer chacun à vivre en pleine santé?

La méditation, la pensée, la prière sont efficaces vers un futur sain et heureux dans la vie de chaque jour. L’instant présent nous sert à limiter nos difficultés anciennes de stress et plus clairement à imaginer notre futur.

La physique quantique crée des liens en soi et ce qui nous entoure: le matériel, les gens et tout l’Univers. Les scientifiques d’aujourd’hui ont en médecine des possibilités plus créatives qu’avec les seules lois d’Isaac Newton.

Sans difficulté, j’imagine que le monde change plus rapidement que ce n’était le cas dans le passé. Pour chaque humain, créer son futur est une réalité, mais son espoir ne viendra que dans ses connaissances personnelles.

Décider de sa santé

Les séparations sont toujours véritables entre les différents médecins généralistes et spécialistes. Les universités s’ouvriront sans doute à partir des lois du champ unifié. Ce dernier présentera prochainement la possibilité de nouvelles techniques. La physique, la mécanique, mais aussi l’aspect spirituel de la santé, au plan individuel et collectif seront plus développées.

La Nature de notre monde offre de vrais produits pour le fonctionnement de chacun harmonieux. La responsabilité de chacun est d’utiliser les plantes naturelles, végétales et vivaces face à la chimie.

Orienter la politique vers l’humain

L’orientation politique changera certainement prochainement, même s’il faudra du temps. L’économie évoluera de nouveau grâce à la création de voies de recherches efficaces. L’esprit de prévention pour le bien être de chacun offrira de rendre la vie plus longue.

La notion de santé est à engager dans le sens politique de demain pour les adultes et leurs enfants. Une opportunité d’ouvrir de nouvelles fabrications techniques et humaines en lien avec une économie différente de celle connue depuis un siècle.

Les mots : « maladie », « virus », « angine », me sont désagréables. Je peux les remplacer par les paroles nées dans mes pensées pour les éviter. Dans les articles futurs, je souhaite vous apprendre comment penser pour rester en forme pour vos activités.

Le monde est maintenant lié par l’énergie, les vibrations que nous émettons et recevons à chaque instant présent. Les nouvelles idées, réflexions et actions sont à créer pour grandir en conservant sa santé.

A chacun d’en prendre et vivre sa responsabilité intime dès son arrivée sur Terre, toute une éducation à faire évoluer.

Michel Prieu

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